La formation en justice offerte par les membres du RNFJ s’adresse aux étudiants des programmes de droit et des programmes reliés au domaine de la justice, ainsi qu’aux intervenants en poste, en particulier dans le domaine du droit criminel, mais aussi dans les autres domaines du droit, tels que le droit de la famille, le droit de l’immigration et le droit administratif.
Par souci de clarté, nous avons défini les termes suivants :
Formation postsecondaire
Désigne toute formation offerte dans une université ou un collège conduisant à un diplôme ou à un certificat postsecondaire.
Formation en cours d’emploi
Désigne toute formation qui se donne dans le cadre du travail et qui permet au participant d’apprendre dans le cadre de ses fonctions.
Formation professionnelle continue
Désigne un complément de formation ou d’activités de perfectionnement suivies par une personne, de sa propre initiative ou pour satisfaire aux exigences de l’ordre professionnel auquel elle appartient, afin de parfaire ses connaissances et/ou compétences, en vue d’une mise à jour et d’une amélioration continue de sa pratique professionnelle. Elle ne se donne pas nécessairement sur le lieu de travail et n’aboutit pas nécessairement à un diplôme ou à une certification. Il s’agit par exemple de la formation professionnelle continue offerte par les associations de juristes, les barreaux et les centres de jurilinguistique.
Formation juridique en français
Il s’agit de la formation en droit substantiel offerte en français. Elle comprend par exemple les programmes offerts par les établissements postsecondaires comme les études en droit, les programmes de pratique d’appui aux tribunaux, de techniques policières, de techniques juridiques et judiciaires.
La formation en français juridique
Il s’agit de la formation linguistique en français offerte aux intervenants en cours d’emploi. Elle cible les intervenants en poste qui possèdent déjà une connaissance fonctionnelle des deux langues officielles. Elle comprend entre autres la formation linguistique offerte aux juges de nomination provinciale, aux procureurs, au personnel d’appui des tribunaux, aux policiers, aux interprètes judiciaires, aux agents de probation et aux agents de services correctionnels.